Hector Torres
24 novembre 2024Objectif : à compléter
Âge du groupe : 11 à 14 ans.
Résumé : En cours de mapudungun, on travaille sur l’incorporation de mots qui permettent d’élargir le vocabulaire des élèves. Avec cela, on peut formuler des questions de tous les jours pour communiquer avec d’autres personnes. Nous commençons avec des questions telles que : Iney Pigeymi ? Quel est ton nom ? Chunten xipantu nieymi ? Quel âge as-tu ? Chew mapu tüwüymi ? De quel territoire viens-tu ? Kümelekaymi ? Comment te sens-tu ? (Cette question se rapporte à l’état physique et émotionnel des élèves). Nialay kutran ? Pas de maladie ? (Pour savoir si vous souffrez d’un problème physique ou d’une maladie). Eymi kay ? Et vous ? (Après avoir répondu, nous sommes autorisés à poser la même question à la personne avec qui nous interagissons). Lorsque les élèves font leur pentukuwün, ils doivent interagir avec n’importe quel élève du cours. Il n’y a pas de structure de dialogue prédéfinie (seulement la salutation et l’adieu).
Avantages :
_ Ce type d’activités a permis de formuler de nouvelles questions pour créer de l’interaction.
_ En créant de nouvelles questions, on peut élargir la capacité de dialogue, l’enrichir et donc mieux communiquer.
_ Ne pas avoir une structure de dialogue définie empêche les élèves de poser des questions de mémoire. Cela leur permet de comprendre davantage ce qui est demandé dans l’autre langue.
_ Les élèves peuvent mener ces dialogues entre pairs ou avec l’enseignant, car les personnes avec lesquelles ils doivent discuter sont choisies au hasard.
_ Valoriser l’existence de deux cultures différentes qui cohabitent dans le même espace, qui ont des coutumes et des croyances différentes, mais qui dialoguent.